Acquisitions et Aménagements

ACQUISITIONS & AMÉNAGEMENTS RÉALISÉS PAR LE MUSÉE :

MARS 2024: INSTALLATIONS SUITE

L’installation d’une partie des collections du Musée au Cercle se poursuit. Une grand vitrine illustrant les OPEX est en place dans le salon des expositions du rez-de-chaussée baptisé « Ceux du drakkar ».

La Deuxième Guerre Mondiale est illustrée sur le côté nord de la mezzanine dans l’espace baptisé du nom de « Laure Diebold »

Espace 2ème Guerre Mondiale

La Première Guerre Mondiale trouve sa place dans le salon d’entrée qui donne accès aux autres salles du Cercle au premier étage.

Espace guerre 1914-18

JANVIER 2024: INSTALLATIONS AU CERCLE GENERAL FRERE

Dans le cadre de la création du Centre Culturel militaire de Lyon au Cercle Général Frère, le Musée a renouvelé le contenu des vitrines existantes avec de nouvelles présentations. Le Cercle a par ailleurs été doté d’une série de vitrines d’exposition sécurisées: elles sont en cours d’installation avec des objets et matériels prêtés par nos bénévoles. L’ensemble constituera à travers les salons du premier étage du Cercle un parcours historique parallèle à celui du Musée principal.

Vitrine 14-18

FEVRIER 2022: les INSIGNES DES CHASSEURS

Un don nous a permis de récupérer deux cadres qui ornaient autrefois la salle d’honneur du 11° BCA à Barcelonnette, contenant les insignes et les fourragères des 30 bataillons de Chasseurs en 1929, avec donc la première version de chaque insigne. Les fourragères rouges distinguent les bataillons décorés de la Légion d’Honneur pendant la Grande Guerre.

Le 1er cadre: les insignes des bataillons 1 à 16

Ces 30 bataillons regroupent les Chasseurs à Pied (18 BCP) et les Chasseurs Alpins (12 BCA). En 2022 ne subsistent plus que les , 13° et 27° BCA (Grenoble, Chambéry, Annecy) et le 16° BCP à Bitche…

JANVIER 2022: UNE CULASSE de CANON de 75

Le 7° RMat nous a cédé une culasse de canon de 75 de forteresse de l’époque de la ligne Maginot.

Shako de Gendarmerie d’époque Louis-Philippe

Octobre 2021: Le « SECTEUR GENDARMERIE » ENRICHI

Dans la deuxième partie de la salle 6 le « secteur Gendarmerie » a été complété par une nouvelle vitrine contenant divers matériels (machine à écrire, menottes, masque à gaz, émetteur radio) et des coiffures: casques, képis et un superbe shako de gendarme d’époque Louis-Philippe décoré d’une cocarde tricolore et d’un coq.

22 AOÛT 2020 : UN KÉPI DU 9-9
Un collectionneur vient de faire don au Musée d’un képi de l’époque précédant la Grande Guerre, képi d’un capitaine du 99° Régiment d’Infanterie. À cette période, le 99° RI était stationné depuis 1905 principalement à Lyon (fort Lamotte), avec un bataillon détaché à Vienne.
Ce régiment, dit le 9-9, ancien Royal-Deux-Ponts a longuement tenu garnison à Lyon et dans la région jusqu’à sa dissolution en 1997. Un article lui est consacré sur ce site.

25 MAI 2020 : Un SABRE D’OFFICIER DE LA GARDE NATIONALE
Nous avons fait l’acquisition d’un sabre d’officier de la Garde Nationale d’époque Louis-Philippe. C’est un sabre modèle 1821, lame à un pan creux de longueur 75 cm, largeur au talon 2,7 cm. La poignée est en bois recouvert de basane, avec filigrane en cuivre doré.

Le sabre de la Garde Nationale


La lame porte sur une face la mention « GARDE NATIONALE » avec au talon l’inscription Coulaux frères et sur l’autre face « ORDRE PUBLIC » et Klingenthal au talon. Les frères Coulaux étaient les entrepreneurs de la Manufacture Royale d’Armes Blanches basée à Klingenthal (67). Klingenthal signifie la « Vallée des Lames ».

Détail du talon
Le général de Hesdin



10 JANVIER 2020 : CARICATURES MILITAIRES
Le musée bénéficie de la donation d’un classeur contenant une trentaine de caricatures militaires signées Siss. C’est le pseudonyme du caricaturiste Sigismond Wertheimer (1897-1992) auteur de dessins publiés dans divers journaux (le Figaro, l’Aurore, Monde, Petit-Parisien, Paris-Soir, l’Illustration…). Engagé dans la France-Libre en 1943, il participe aux six derniers mois de la campagne de la 1ère Armée ; il est sur le front d’Alsace en hiver 1945. Il publie ensuite un recueil de 70 aquarelles sur les Soldats & Généraux des Campagnes d’Europe Occidentale 1944-1945. Les planches données au Musée sont des reproductions de ces aquarelles. Ci-contre la caricature du Général de Hesdin (1890-1966) chef de la 4° DMM (Division Marocaine de Montagne) dans l’armée de Lattre, puis Gouverneur Militaire de Lyon de mars 1946 à septembre 1949.

Le Spahi de 1939

DÉCEMBRE 2019 : UN SPAHI de 1939
Dans la salle 5 partie 39-40 est maintenant exposée la grande tenue avec cape d’un capitaine de spahis de 1939.
Dans notre région le 9° Régiment de Spahis Algériens tenait garnison à Vienne au quartier St-Germain depuis 1922. À la mobilisation il fait partie avec le 7° RSA de la 2ème brigade de spahis basée à Orange. Aujourd’hui le 1er spahis basé à Valence continue la tradition.

JUILLET 2019 : TABLEAU EN SOIE -Le DUC D’AUMALE VISITE LA SOIERIE LYONNAISE
Suite à la révolte des canuts de 1834, le roi Louis-Philippe avait fait une commande d’état pour relancer l’activité de la « fabrique » et donner de l’oxygène aux chefs d’atelier lyonnais. En août 1841 le duc d’Aumale fils du roi vient visiter à Lyon un atelier de tissage. Le Musée a pu acquérir un superbe dessin de soierie monté en tableau qui illustre cette visite.
Dans le décor d’un atelier avec le métier à tisser, sur lequel travaille un compagnon, les représentants de la chambre de commerce et des prudhommes présentent au duc une composition de soierie représentant Jacquard, alors que le chef d’atelier se tient modestement en retrait sur la droite derrière sa femme. À gauche on reconnait le duc, le maire de la Croix-Rousse Joseph Cabias, le préfet Jaÿr et le commandant militaire de Lyon le général Aymard (au second plan de face).

Le Dessin de Soierie

Echelle de Monoyer

FÉVRIER 2019 : Une ÉCHELLE de MONOYER
L’échelle de Monoyer est une échelle de dépistage visuel à 5 m qui provient de l’ancien hôpital Desgenettes fermé en 1957 (don du Docteur Barral). Elle a été accrochée dans dans « l’espace Santé » de la salle 4 (1914-1918)
Ferdinand Monoyer (1836-1912) professeur à Lyon de physique médicale et ophtalmologiste est le promoteur de l’usage de la dioptrie comme mesure de la puissance des lentilles et l’inventeur de l’échelle visuelle qui porte son nom. Son nom et son prénom figurent sur son échelle en un double acrostiche.

Article modifié régulièrementDernière modification 03/2024